On rencontre souvent des soucis avec nos enfants lorsqu’il s’agit de leur faire apprendre une langue. On manque du temps…
Arborescence : Être parent
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Fixer des objectifs réalisables
Les parents doivent faire confiance à leur enfant et considérer qu’il est capable de gérer une situation même si elle semble difficile (sans pour autant le surestimer.
C’est ce regard aimant et confiant qui conforte l’enfant dans son envie d’expérimenter de nouvelles choses, de dépasser un peu ses limites, d’explorer le monde qui l’entoure.
Le danger est de se montrer trop exigeante avec son enfant. Avoir de l’ambition et vouloir le meilleur pour lui, c’est bien, mais dans la limite du raisonnable.
S’il ne parvient pas à faire ce qu’on lui demande, il se sent en situation d’échec, pense décevoir ses parents et ne pas être à la hauteur de leurs espérances. La bonne mesure est donc de lui demander un peu plus que ce qu’il est capable naturellement de faire, afin de le motiver, de l’inciter à aller de l’avant, sans lui demander l’impossible.
En l’encourageant (« Je te regarde, je sais que tu peux y arriver tout seul »), les parents lui expriment leur confiance et l’enfant se sent plus sûr de lui, porté par l’amour de son papa et de sa maman.
Ne pas hésiter à lâcher du lest et à lui faire confiance !
Dans les trois premières années, il faut accepter de laisser s’éloigner l’enfant pour le rendre autonome, en évitant de trop l’assister.
Les parents sont pour lui un point d’ancrage affectif stable et rassurant. Il peut s’éloigner, tenter ses expériences sans craindre de le perdre.
Laissez-le ainsi attraper seul ses jouets, ne l’aidez pas dans ses moindres mouvements. Il faut que le bébé trouve seul les bons équilibres, apprenne à évaluer les distances, fasse les bons gestes. Il peut y arriver seul, l’essentiel est qu’il sente qu’il est soutenu et que ses parents ont confiance dans ses capacités à y arriver.
… Or, le bon développement de ce dernier est avant tout lié à la confiance qui s’instaure dès la naissance entre lui et ses parents.
Parents heureux, bébé épanoui
Cela peut sembler évident, mais il est essentiel que les parents soient heureux et aient vécu la grossesse avec bonheur pour que le bébé sente qu’il a été attendu, qu’il est aimé par sa famille.
Plus les parents offrent un modèle équilibré, plus l’enfant se sent sécurisé et développe une confiance en lui solide.
La manière dont les deux parents perçoivent leur propre enfance est également décisive.
Estimer ses propres parents et avoir eu une jeunesse heureuse et sereine aide à avoir ensuite confiance en soi en tant que parent. Si ce n’est pas le cas, il faut s’efforcer de penser positif et se dire qu’avoir réussi à se construire dans un environnement défavorable prouve que l’on a des ressources et que l’on peut se faire confiance.
Il ne faut pas hésiter à exprimer à son enfant ses satisfactions et ses joies : « Aujourd’hui, j’ai passé une très bonne journée » ; « Je suis contente parce que.. »…
Quelques conseils…
- Laissez-le s’exprimer
Tout d’abord, il ne faut pas réprimer les émotions de votre enfant, laissez-le s’exprimer, encouragez-le même, quelles que soient les émotions. Et montrez-lui que vous l’avez compris.
Par exemple, lorsque vous avez repéré une activité qui lui plaît, essayez de la répéter le plus souvent possible.
Ou encore, s’il n’aime ce que vous lui donnez à manger, il vous le montrera par une grimace. N’insistez pas, ne prenez pas cela comme un caprice et ne le forcez pas à finir. Vous lui montrez ainsi que vous l’avez compris.
- Montrez-lui que vous le comprenez
Le bébé a besoin d’être écouté pour prendre de la confiance et devenir plus vite autonome.
En répondant à ses signaux, vous ne cédez pas à un caprice, vous montrez à votre bébé que vous êtes là pour lui à un moment où il a besoin de vous.
C’est un peu plus tard, lorsqu’il sera plus grand, que vous devez être vigilante à ne pas répondre positivement à toutes ses demandes.
- Parlez-lui
Donnez un nom à ses sensations. Par exemple : « Tu as peur ? Viens dans mes bras. » ou bien « Ta couche est mouillée ? Je vais te changer. ».
Cela lui permet d’entrer peu à peu dans le monde de la communication verbale.
- Posez-vous les bonnes questions
Et non, ce n’est pas si facile de comprendre la signification du cri ou des pleurs de bébé.
Votre rôle est de l’écouter, de se poser les bonnes questions, d’essayer de vous mettre à sa place et d’imaginer ce qu’il veut vous communiquer.
Par exemple, si votre bébé est en colère, la question à se poser n’est pas « Pourquoi est-il en colère ? » mais plutôt « Qu’est ce qui a provoqué sa détresse ? ».
Car souvent ce sont des choses toutes simples comme la faim, la douleur, la fatigue qui sont à l’origine d’une crise de colère.
Fleurs de Crêpes
Prenez 4 oeufs et séparez les blancs des jaunes. Mélangez 50 cl de lait à 300g de farine et ajoutez-y vos 4 jaunes d’oeufs, ainsi que qu’un sachet de levure chimique, une cuillère à soupe d’huile, 20g de sucre et une pincée de sel. Mélangez le tout jusqu’à obtenir une pâte lisse et homogène. Mettez une cuillère à soupe d’arôme de vanille. Montez ensuite les blancs en neige avant de les incorporer doucement à la pâte. Transvasez la pâte dans un sac à congélation dont vous prendrez ensuite soin de couper un coin.
Par curiosité, demandez à un homme quel déclic lui a donné envie d’être père : tout de suite, sa voix baisse d’un ton, il y a de la poésie dans son regard… Passé le « je-ne-sais-pas-trop » pudique, ils parlent avec émotion de leurs expériences…
Des études sérieuses ont démontré que les hommes qui sont présents à la maison, qui aident leurs compagnes à faire le ménage, le repassage, qui font le lit le matin, qui rangent le bordel causé par la famille, les papas qui passent du temps à jouer aux papas poules, qui font l’avion ou le cheval avec leurs bambins, qui n’ont plus peur de paraître ridicules en chantant « Petit papa Noël » ou « Petit escargot »… sont beaucoup moins stressés que ceux qui travaillent jusqu’à 22 heures, toujours pre
Ce cher Jean-Edouard… Parlons-en. Il faut bien avouer qu’il se change en un abominable monstre lorsqu’il est fatigué ou qu’il a simplement décidé de vous embêter en vous poussant à bout. Alors, forcément vous hurlez pour lui montrer votre mécontentement et tenter de le faire changer d’avis (ou tout du moins de le rendre supportable !)… Mais selon une récente étude scientifique, c’est une chose à absolument oublier.
Dès lors que vous annoncez votre heureux évènement à une amie, la question ne se fait pas attendre plus d’une minute et tombe indéniablement : “Et comment vas-tu l’appeler ?”. Alors, il y a celles qui jouent le mystère et celles qui l’avouent tout de go : “J’en sais rien…”. Car, il faut le dire, trouver LE prénom n’est pas simple du tout… Surtout quand il faut en plus faire avec les goûts désastreux de Chéri-Chéri ! Voici quelques conseils à respecter pour être sûre de votre choix.
Encourager et féliciter
Si l’estime de soi est personnelle (Est-ce que j’ai atteint mon but ? Est-ce que je suis contente de moi ?) elle est, dans l’esprit de l’enfant, surtout sociale (Que pensent et disent les autres de ce que fais ? de ce que je suis ?).
Le regard que portent ses parents sur lui est de ce fait déterminant. Ces derniers doivent donc l’encourager et le féliciter.
Mais pour que l’enfant se construise une image réaliste de lui-même, il faut certes le complimenter, mais aussi lui montrer ce qui ne va pas dans son comportement, ses actions.
Critiquer de manière constructive
Il ne faut pas céder à tous ses caprices, et ne pas hésiter à le gronder ou lui faire des remarques s’il l’a mérité, en prenant garde toutefois aux mots employés, car une parole malheureuse peut avoir des conséquences négatives et durables.
La critique, comme le compliment, doit toujours rester constructive. Lui répéter à longueur de journée : « Tu es génial, tu es le plus beau, tu es le meilleur » risque de le rendre un peu prétentieux et de susciter des désillusions, lorsqu’il découvrira qu’il n’est pas pour tout le monde le centre du monde.
Il est préférable de lui faire des compliments portant sur des actions précises : « Bravo mon chéri, je suis très fière de toi, tu as réussi à marcher tout seul » ; « Tu as été très gentil de partager tes bonbons avec ton cousin ».
Il en va de même avec les critiques : plutôt que de lui faire des reproches qui le visent en tant que personne, faites-lui des reproches concrets sur ses actes ou ses paroles (« Je trouve que tu n’as pas été gentil avec ta nounou, ce matin »).
Si l’enfant fait une bêtise, essayez de rester constructive. Ainsi, s’il casse un objet auquel vous tenez, plutôt que de lui dire : « Vilain, tu as cassé cette assiette à laquelle j’étais très attachée », dites-lui : « Voilà, je t’avais prévenu, il ne faut pas courir dans la maison comme cela, sans regarder autour de toi. Viens avec moi, tu vas m’aider à ramasser les morceaux, on peut peut-être la recoller ».
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