Je Combats les Allergies !
Véritables bêtes noires pour toutes les victimes des allergies du printemps, elles font leur apparition à la période des beaux jours, lorsque les fleurs éclosent et répandent leur pollen.
Que ce soit sous forme d‘éternuements, de picotements aux yeux, de nez bouché, de démangeaisons du palais, de la gorge, des oreilles, le rhume des foins peut également engendrer de l’asthme.
Comme tout rhume en bonne et due forme, il a des conséquences néfastes sur la qualité de vie du malade : mauvaises nuits, fatigue, manque de concentration, énervement.
L’allergie au pollen touche de plus en plus de personnes, quel que soit l’âge. Environ 25 % des français sont atteints de ce mal et il faut s’attendre à ce que ce chiffre double d’ici 2020 !
Pourquoi une telle augmentation ?
Si nos ancêtres ne connaissaient pas ce type d’allergie, ou en tout cas, beaucoup moins, c’est parce que l’environnement était différent. Aujourd’hui, avec le réchauffement climatique rallongeant les périodes de floraison, la pollution croissante, ou la présence d’allergènes dans les aliments industriels, nous sommes bien plus exposés aux risques.
Il semble aussi que l’abus d’antibiotiques, les poils d’animaux, le tabac, le chlore des piscines accentuent les chances d’être touchés.
Cheminement de l’allergie…
Tout est lié au système immunitaire qui, lorsqu’il est soumis à des corps étrangers, va produire des anticorps.
Dans le cas d’une allergie, il s’agit d’une réaction excessive du système immunitaire contre des protéines allergènes, tels que les grains de pollen.
C’est donc en essayant de chasser cet intrus que votre corps déclenche ces réactions fort désagréables.
Pour les filles (et femmes) allergiques, les réserves de mouchoirs sont à faire à deux périodes de l’année, correspondant aux pics de pollen :
- En mars / avril, il s’agit du pollen des arbres et arbustes.
- En mai / juin, c’est le tour du pollen des fleurs qui s’ouvrent, correspondant à la saison des graminées.
Ces rhinites sont dites saisonnières à partir du moment où elles se développent uniquement au printemps. Pour les moins chanceuses qui souffrent d’allergies tout au long de l’année, on parle alors de rhinite allergique chronique, souvent accompagnée de crises d’asthme.
La nature n’est plus la seule responsable des désagréments physiques. On peut également compter sur des odeurs âcres, la fumée du tabac, les acariens, l’humidité, les parfums pour mener la vie dure au malade.
Afin de ne pas accentuer davantage les symptômes allergiques, mieux vaut prendre quelques précautions et être vigilante quant à votre mode de vie.
Sachez que les poils d’animaux, la poussière, la moisissure ne font pas bon ménage avec les victimes de rhumes des foins.
Amoureuse des chats ? Il va falloir apprendre à les aimer de loin.
Egalement allergique au ménage ? Soignez le mal par le mal et mettez un masque. Sinon, faites appel à une femme de ménage…