On compte un certain nombre d’allergène dans l’environnement…
Le saisonnier mais principal : le pollen
Selon le mois, le pollen ne va pas avoir le même effet, ni la même origine.
Celui des arbres au printemps, de l’herbe en été, des mauvaises herbes à l’automne laissent peu de répit aux victimes d’allergies, d’autant plus qu’avec le réchauffement climatique, les allergies commencent de plus en plus tôt dans l’année, en particulier avec les noisetiers, les frênes, les chênes, les platanes, les saules et les bouleaux.
Ces derniers représentant un risque maximum, classé 5/5 sur l’échelle de mesure du risque allergène. Selon les zones géographiques, le risque est donc plus ou moins fort : les personnes résidant dans le département du Rhône par exemple sont plus facilement exposées aux allergies de par les nombreux platanes, frênes, peupliers, saules ou cyprès.
Les réactions croisées
Et comme si le rhume des foins ne suffisait pas, il arrive que des femmes allergiques aux pollens souffrent d’autres maux lorsqu’elles mangent certains aliments. Il s’agit en fait d’une relation croisée entre les aliments et certains types de pollen.
Par exemple, plus de la moitié des personnes allergiques aux pollens de bouleau, de noisetier ou d’aulne sont sensibilisées à la pomme, la noisette et la pêche.
Ces réactions croisées engendrent des réactions fortement embarrassantes telles que des démangeaisons du palais et de la gorge ou des œdèmes.
Pour les éviter, il est conseillé de cuire les aliments ou tout simplement, de ne pas en consommer !