- Outre les migraines, les maux de dos et le déséquilibre, que soigne-t-on avec la Posturologie ?
Cela dépend de l’âge ! En analysant la verticalité, soit le fonctionnement musculaire et l’équilibre postural de la personne, on améliore cette verticalité et l’on harmonise le fonctionnement de son corps… Ainsi, l’individu consommera moins d’énergie et se portera beaucoup mieux !
- Outre les migraines, les maux de dos et le déséquilibre, que soigne-t-on avec la Posturologie ?
Cela dépend de l’âge ! En analysant la verticalité, soit le fonctionnement musculaire et l’équilibre postural de la personne, on améliore cette verticalité et l’on harmonise le fonctionnement de son corps… Ainsi, l’individu consommera moins d’énergie et se portera beaucoup mieux !
- Comment pratiquez-vous ?
J’interviens sur du tout venant libéral ! Je travaille donc essentiellement avec des ostéopathes, qui ont pour vocation de débloquer les articulations et les muscles. Pendant la consultation, j’établis un diagnostic à partir d’un interrogatoire (antécédents, descriptif de la personne, examen de la marche, podoscopie pour les empreintes (en dynamique pour les pieds), stabilométrie, examen debout avec fil à plomb, latéralité…).
Pour résumer, j’examine si la personne est en harmonie ou non. Ensuite, je pratique les tests de Romerg (test de neurologie), de Fukuda (test visuel bras tendus et yeux fermés), un test d’antéflexion (examen debout, assis et allongé), et j’examine les groupes musculaires pour mieux harmoniser plus tard (jambe trop courte…).
Enfin, une fois le patient debout sur le plateau, je pratique les tests de syncinésie musculo-articulaires… Une fois ces tests en dynamique effectués, je revois la personne, trois semaines plus tard, appareillée.
- Devrait-on voir un posturologue tout au long de sa vie ?
Un conseil pour les bébés, laissez-les faire ce qu’ils veulent ! La posturologie est réellement efficace à partir de 14 ans jusqu’à 60 ou 80 ans… Cela dépend de l’activité physique du patient, ainsi que de la qualité de son épiderme plantaire. On parle d’une certaine épaisseur pour mieux amortir, du système veineux défaillant ou non, de cellules réceptrices de pression.
François DAFFOS, 1 Avenue des Sciences, 93 140 BONDY. Tél. : 01 48 02 19 74