- Entamez un câlin dans un endroit où vous risquez d’être surpris. Rien de plus excitant que la peur d’être pris sur le fait !
- Rencontrez-vous comme des amants illicites dans une chambre d’hôtel. C’est une merveilleuse façon de briser la routine.
- Une visite surprise sur son lieu de travail et laissez tomber au cours de la conversation que vous ne portez rien sous votre jupe…
Désir
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A l’origine de cette situation, il peut y avoir un choc, un surmenage physique ou intellectuel, un problème de santé… Au début on trouve cela déroutant de se rendre compte que le désir ne vient plus tout seul.
Et puis un cercle vicieux s’installe : moins on ressent des choses, moins on a envie de faire l’amour.
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- Vous voulez que vos câlins prennent d’autres dimensions ? Ajoutez un miroir au décor !
- Si vous êtes fatiguée d’être traitée comme de la porcelaine, osez les étreintes bestiales. Pour ne pas abîmer vos vêtements sexy, optez pour de vieux vêtements dont les boutons peuvent sauter et qui peuvent être déchirés…
- Devenez les acteurs de votre propre film X. Inventez-vous des personnages ou faites semblant d’être des inconnus.
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- Un soir quand vous êtes au lit, avec votre voix mielleuse, commencez la lecture d’un roman érotique. Ça réchauffera les sens avant le feu d’artifice. On a essayé et l’effet est garanti !!!
- Feuilletez ensemble les pages du Kama Sûtra et le reste vous concerne !
- Vous êtes loin de votre chéri ? Ce n’est pas un problème ! Appelez-le et dites-lui combien il vous manque et tout ce que vous auriez fait si vous l’aviez sous la main avec une petite voix toute innocente.
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Vous avez bien pensé à faire comme le marquis de Montespan, mari de la maîtresse officielle de Louis XIV : après avoir fait une magistrale scène de ménage à sa volage et l’avoir souffletée, au risque de gâter ces joues roses qui plaisaient si fort à sa Majesté, il se vêtit de noir et alla saluer le Roi Soleil. Qui lui demanda de qui il portait le deuil.
« De ma femme, Sire », aurait-il répondu…
Ce qui lui valut quelques jours de prison : Louis XIV n’avait pas humour. Relâché, le malheureux cocu rentra chez lui, en province, organisa l’enterrement de sa femme et, au moment d’entrer, à la suite du cercueil vide, dans l’église, fit ouvrir les grandes portes au prétexte que ses cornes ne sauraient passer par les petites…
Vous avez bien envisagé de faire de même.
Mais, outre que votre appartement ne possède nulle grande porte, notre époque, manquant d’humour, supporte beaucoup moins bien que le XVII ème siècle les enterrements de personnes non décédées ! Vous avez donc choisi une méthode moins radicale, quoique toute aussi claire : lui préparer… des encornets farcis !
- S’il ne comprend pas l’allusion, c’est que votre imagination vous joue des tours.
- S’il la comprend…
- Non, c’est sûr, il ne comprendra pas…