Le documentaire de Coline Serreau sort aujourd’hui, mercredi 7 avril, sur les écrans. Le constat initial ? La planète est épuisée, mais on peut encore changer les choses. Il est urgent de mettre en place un modèle de développement plus respectueux de l’environnement.
Loin des films catastrophistes, la réalisatrice donne la parole à ceux qui agissent en France, au Maroc, au Brésil, en Inde, en Ukraine… Physiciens, ingénieurs agronomes, économistes, membres d’associations écologistes, agriculteurs… : tous proposent des alternatives à l’agriculture dite productiviste.
Le documentaire de Coline Serreau sort aujourd’hui, mercredi 7 avril, sur les écrans. Le constat initial ? La planète est épuisée, mais on peut encore changer les choses. Il est urgent de mettre en place un modèle de développement plus respectueux de l’environnement.
Loin des films catastrophistes, la réalisatrice donne la parole à ceux qui agissent en France, au Maroc, au Brésil, en Inde, en Ukraine… Physiciens, ingénieurs agronomes, économistes, membres d’associations écologistes, agriculteurs… : tous proposent des alternatives à l’agriculture dite productiviste.
« Solutions globales pour un désordre global » a vocation à expliquer sans culpabiliser, à montrer qu’il existe des solutions mises en oeuvre localement qui ne demandent qu’à se développer à plus grande échelle.
Un peu d’espoir et une bonne d’optimisme qui tranche avec les messages alarmistes que l’on a l’habitude d’entendre.
A voir absolument !
Marie