« La beauté intérieure n’est pas un mythe. Une récente étude américaine semble le confirmer, en révélant que la séduction est avant tout une question de valeurs morales !
Vie à deux
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En plus de ça, il va falloir que je passe des heures à chercher une salle, un traiteur, un animateur, de la déco, et je n’ai aucune idée de par où commencer, comment choisir, si je peux négocier ou non, c’est fou ce que ça me stresse avant même d’avoir débuté!
Ce scénario, de nombreuses futures mariées et femmes actives le vivent. Aujourd’hui, une « nouvelle » prestation se rajoute aux habituels traiteurs et compagnie: l’organisation de votre mariage par un ou une spécialiste, le wedding planner. Je mets des guillemets parce que c’est une profession qui a plus de 100 ans, mais les premiers en France se sont installés en 2001.
Vous aurez peut-être en tête Jennifer Lopez quand vous entendez parler de wedding planner, dans le film du même nom, avec un mariage grandiose à l’américaine, et bien vous n’êtes pas loin ! Sauf qu’elle ne vous piquera pas votre fiancé dans la vraie vie… Mais que fait exactement un wedding planner ? Combien ça coûte ? Qu’est-ce que ça apporte ?
Son rôle
Le ou la wedding planner (très souvent une femme) a fait de l’organisation de mariage son métier. Tout le côté recherche de prestataires, négociation, réservation, c’est son job ! Beaucoup de temps gagné pour vous donc, et avec la possibilité de profiter de son super carnet d’adresses, de son expérience, et de ses idées pour vous créer un événement magique et original. Le tout bien entendu en étroite collaboration avec vous et votre famille, puisque tout sera fait selon vos désirs et vos exigences !
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- Le chant
- La musique instrumentale
- La danse
- La peinture
- La disposition des lits et des tapis
- Le jeu de verres musicaux remplis d’eau
- Les jeux d’eau
- La distinction et l’élégance
- La calligraphie et le découpage de silhouettes
- La parure à l’aide de grains de riz et de fleurs
- L’arrangement floral
- La fabrication de colliers et de diadèmes
- La mosaïque des sols
- La confection de colliers et de guirlandes
- Les représentations théâtrales. La mise en scène
- La fabrication d’ornements d’oreilles
- La décoration picturale
- L’architecture
- La préparation de parfums et d’odeurs
- La coloration des dents, des vêtements, des cheveux, des ongles et des corps ; le tatouage
- La confection des parures vestimentaires
- Les tours de magie et la sorcellerie
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Calendrier « Un peu moins nul(le) au lit chaque jour » de la collection « Personal Coach »
by adminby adminQue pourrait-on commander de bon au père Noël cette année ? Avez-vous pensé à une sexualité épanouie et du plaisir intense avec son partenaire ?? Certes, original ! Voici venue la sortie de notre calendrier spécial « amour » qui vous guidera pas à pas dans vos ébats amoureux. « Un peu moins nul (le) au lit » est disponible dans votre librairie.
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Une seule solution
Lui faire comprendre que vous savez. Avec suffisamment de finesse pour qu’il admire votre tact. Mais suffisamment de force pour que le message soit clair.
Plutôt que de vous énerver et de lui hurler : « tu me prends pour une truffe ? pour une bécasse ? pour une nouille ? », préparez-lui…… une terrine de bécasse aux truffes que vous pourrez faire suivre, ou accompagner, d’un plat de nouilles fraîches ! Vous pourrez terminer votre dîner par un petit flan aux poires, histoire qu’il comprenne bien que, oui !, vous en faites tout un flan d’avoir été prise pour une poire !
Terrine de bécasse aux truffes
Préparation : 30 min + 2 heures de marinade
Cuisson : 1 heure
Difficulté : moyenneIngrédients pour une terrine de 4 personnes
1 bécasse (faites la vider, désosser, et demandez que l’on vous garde l’intérieur, sauf le gésier)
50 gr de jambon cuit
2 œufs
bardes de lard
1 verre de cognac
quelques morceaux de truffes
Pour la marinade : noix de muscade, cognac -
Berezina… et recette au gingembre !
Ce n’est vraiment pas de chance…
- Vous aviez déjoué les plans-sorties des copains, évité l’écueil du dîner chez belle-maman, estimé que mettre une fortune dans cette ravissante nuisette en soie prune et dentelle de Calais crème constituait un bon placement. Vous étiez rentrée plus tôt.
- Vous aviez mis de la musique d’ambiance. Vous aviez allumé des bougies partout. Vous aviez fait couler un bain pour deux dans une baignoire pour un. Tout était prêt.
- Au vu des préparatifs, sa fatigue s’était instantanément envolée. Son patron avait disparu dans la stratosphère, avec ses dossiers urgents. Ses copains n’avaient jamais existé. Sa mère, encore moins ! Il ne voyait plus que vous. N’entendait plus que vous. Ne désirait plus que vous. Parfait !
- C’est là que les choses ont dérapé… Est-ce sa fatigue, plus résistante que prévu ? Est-ce son patron, redescendu de la stratosphère avec les dossiers urgents sous le bras ? Est-ce ses copains, décidément toujours là quand il ne faut pas ? Est-ce sa mère, finalement indéracinable ? Lequel de ces trouble-fêtes s’est imposé à son esprit au moment crucial ? Toujours est-il que ça n’a pas marché… C’est la Berezina.
- Votre moral est en berne. Et pas que votre moral… A vous, les bons vieux aphrodisiaques ! Comme vous allez avoir du mal à trouver, dans votre quartier et à cette heure-ci, des mouches cantharides, de la poudre de testicule gauche de bouc ou autre délicatesse du même tonneau, rabattez-vous sur une plante à la réputation flatteuse : le gingembre !
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Vous avez bien pensé à faire comme le marquis de Montespan, mari de la maîtresse officielle de Louis XIV : après avoir fait une magistrale scène de ménage à sa volage et l’avoir souffletée, au risque de gâter ces joues roses qui plaisaient si fort à sa Majesté, il se vêtit de noir et alla saluer le Roi Soleil. Qui lui demanda de qui il portait le deuil.
« De ma femme, Sire », aurait-il répondu…
Ce qui lui valut quelques jours de prison : Louis XIV n’avait pas humour. Relâché, le malheureux cocu rentra chez lui, en province, organisa l’enterrement de sa femme et, au moment d’entrer, à la suite du cercueil vide, dans l’église, fit ouvrir les grandes portes au prétexte que ses cornes ne sauraient passer par les petites…
Vous avez bien envisagé de faire de même.
Mais, outre que votre appartement ne possède nulle grande porte, notre époque, manquant d’humour, supporte beaucoup moins bien que le XVII ème siècle les enterrements de personnes non décédées ! Vous avez donc choisi une méthode moins radicale, quoique toute aussi claire : lui préparer… des encornets farcis !
- S’il ne comprend pas l’allusion, c’est que votre imagination vous joue des tours.
- S’il la comprend…
- Non, c’est sûr, il ne comprendra pas…
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Vous étiez habituée à « Moi, le jour où je me marierai… » et vous vous enchaîniez avec la robe que vous porteriez (« simple mais sublime, je ne veux pas avoir l’air d’une bonbonnière comme Jocelyne, tu te rappelles, avec son chapeau qui faisait comme un couvercle… »)…
…ou la cérémonie que vous vouliez (« un truc sympa, avec des musiques cool, pas comme le mariage de Marc et Isabelle, qu’est-ce qu’on a pu s’enquiquiner, en plus le curé marmonnait, on ne comprenait rien, remarque c’est pas grave, c’est toujours pareil »)…
Vous n’obteniez jamais de réponse. Il se découvrait soudain un intérêt irrépressible pour les problèmes des ostréiculteurs bretons de la 3ème génération et montait le son du journal télévisé. Bref, il avait la pétoche !
Et là, comme ça, l’air de rien, entre la poire et le fromage, il a levé le nez de son assiette (pourtant, vous lui avez fait son plat préféré) et il a dit, en vous regardant bien dans les yeux : « Juin, c’est un bon mois pour les mariages, non ? »… Vous avez hésité entre tomber raide morte sur le carrelage de la cuisine et bondir partout en criant « youpi, youpi !! », puis vous vous êtes reprise et vous l’avez joué très détachée : « Pourquoi ? Tu envisages de te marier ? » Manquerait plus qu’il vous dise « non »…
Avant qu’il change d’avis, éblouissez-le avec vos huîtres au champagne, histoire de lui faire comprendre que vous êtes une perle…
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Ça y est ! Ça fait un an pile ! Un an que votre destinée a croisé la sienne (il y a des jours où vous vous demandez si vous n’auriez pas mieux fait de changer d’itinéraire ce jour-là mais, bon, ça ne se dit pas…). Un an que votre solitude a pris fin (votre tranquillité aussi mais, bon, ça ne se dit pas non plus…).
Un an que Poussin chéri, Chouchou d’amour, Lapin rose ou Chouchounette adorée a pris place dans votre vie. Et bon, il faut bien le reconnaître, malgré les petites disputes et les aléas de la vie quotidienne… c’est le bonheur ! Un bonheur qui mérite d’être dignement fêté et célébré !
Ce soir-là, donc, en souvenir des premiers instants, remisez la vaisselle de tous les jours au fond du placard, les surgelés au fond du congélateur et votre vieille robe de chambre au fond de l’armoire. Comme au premier soir, sortez le grand jeu. Il faut que ça brille, que ça étincelle, que ça romance, que ça petits-plats-dans-les-grands, que ça éblouisse, que ça musique-douce, que ça épate, que ça étonne, que ça pétille… … champagne !
Champagne, oui, mais pas de façon conventionnelle. Votre couple, votre relation, vos sentiments, sont exceptionnels. Foin des coupes, flûtes et autres récipients ! Votre champagne, vous le servirez dans un melon ! Et que la fête commence !…