Ces deux dernières années c’est devenu LA question dans le tout-Paris pour déterminer si tu es IN ou OUT, fini les bobos, vive les bio / écolo ou écolo / bio.
Forcément en bonne greluche parisienne, il a fallu que je me penche sur la question : suis-je écolo ou bio ? Euh… comment dire… c’est quoi la différence ?
Ces deux dernières années c’est devenu LA question dans le tout-Paris pour déterminer si tu es IN ou OUT, fini les bobos, vive les bio / écolo ou écolo / bio.
Forcément en bonne greluche parisienne, il a fallu que je me penche sur la question : suis-je écolo ou bio ? Euh… comment dire… c’est quoi la différence ?
Non parce que pour moi tout cela c’est un peu comme un finnois qui me parlerait grec : je n’y comprends pas un traître-mot sans compter que je m’emmêle rapidement les pinceaux.
Mais bon, ayant bien compris que, outre le fait que de choisir mon camp me permettrait d’être super IN et de briller en société, il paraîtrait que ça me permettrait de sauver la planète à moi toute seule et de coller enfin une raclée à Superman.
Je me lance donc dans l’aventure, tout d’abord il me faut choisir mon camp : écolo ou bio ? Bah oui ce n’est pas du tout la même chose.
Dans ma tête pour l’instant le bio : c’est le truc pour les bobos qui coûte super cher et n’est pas bon. Bouffer des graines et des racines… non merci !
Ecolo, il parraît que ce sont des produits frais du marché comme chez mémé.
En résumé, le bio est un phénomène de mode avec un peu d’écologie dedans, et l’écologie une sorte de philosophie de vie en adéquation avec la planète.
« Ma vie de femme » m’a proposé de vous faire partager ma conversion à la vie verte, enfin, si jamais mes aventures vous intéressent ?…
A suivre de près sur MaViedeFemme.com…
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