Chagrin d’Amour : On Laisse du Temps au Temps

by admin

Quand on se leurre sur une histoire d’amour, que l’on pense que l’autre va changer parce qu’on le souhaite, on risque les pires déceptions !
C’est douloureux, on a parfois même « envie de mourir » tellement le sentiment d’abandon nous pèse…

On réfléchit !

C’est alors le moment de se poser des questions, de prendre du recul, de réfléchir… La rupture n’est jamais soudaine ni incompréhensible ; il y a très souvent des signes avant-coureurs que l’on aurait pu voir, mais on a préféré ignorer par confort, par peur de perdre l’autre, par crainte de la solitude ou de l’inconnu.

Il n’y a pas de hasard dans la rencontre et dans l’histoire amoureuse : si l’on est ensemble, c’est parce que l’on a une attirance, des points communs, du désir et de l’amour. Et si l’on se quitte, c’est parce que la relation ne suffit plus à nourrir cette envie d’être ensemble !!!

On classe ses pensées !

Rester Zen face à une rupture, c’est être d’abord capable d’établir un bilan, de comprendre les évènements, de tirer une expérience positive. Tout cela pour éviter toute reproduction de l’histoire passée dans le futur choix de partenaire.

Il ne faut jamais oublier « la juste équité » : aucun des deux n’est responsable à 100%, comme aucun des deux n’est innocent à 100% !

On agit !

Si on est submergée par le chagrin, on l’accepte et surtout, on laisse du temps au temps ! Et pour poursuivre dans la voie de la « Zen Attitude », on en profite pour se retrouver soi-même, pour mieux se connaître, pour travailler sur ses petits défauts qui ont causé des déboires dans son passé.

On repart du bon pied… pour mieux faire connaissance avec ses partenaires et construire ensemble une véritable histoire d’amour entre adultes… sur des bases solides, lucides et réalistes.

Etre Zen en amour, c’est avant tout respecter l’autre dans son entité !

« De même qu’une main placée devant les yeux peut cacher la plus grande chaîne de montagnes, de même la vie matérielle occulte la lumière et les mystères que prodigue le monde. Et celui qui peut éloigner de ses yeux cette vie étriquée comme on retire une main, celui-là contemplera l’immense clarté des mondes intérieurs. » Nachman

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